Les élections européennes approchent, la campagne touche à sa fin pour les candidates et candidats. Paradoxalement, pour le commun des mortels, la réflexion sur ce scrutin commence à peine. 70 % des jeunes n’ont toujours pas prévu d’aller voter. Les enjeux de ces élections sont pourtant importants, et ne se résument pas au duo Rassemblement national / majorité présidentielle.
À force de jouer avec les idées et les parlementaires d’extrême droite, les macronistes portent une grave responsabilité dans le gros score qui s’annonce pour Jordan Bardella. Sanctionné, le parti présidentiel s’apprête lui à faire un score historiquement bas.
À gauche, difficile à dire. La liste conduite par Léon Deffontaines se distingue en incarnant une gauche authentique et populaire, loin du populisme de gauche insoumis, ou du libéralisme centriste glucksmannien. En parlant de la paix, des salaires, du travail et du pouvoir d’achat, les communistes mettent les principales préoccupations des françaises et des français au cœur de la campagne.
Renvoyer les communistes au Parlement européen, c’est envoyer des députés de combat, qui sauront défendre les ouvriers, les salariés, la jeunesse et la France du travail. Le scrutin des élections européennes a le mérite d’être clair : en dessous de 5%, aucun député, au-dessus, 5 députés d’un coup. Dès lors, voter et faire voter PCF est la meilleure chose à faire pour l’électeur de gauche qui hésite, l’abstentionniste qui n’a pas prévu de se déplacer.
La composition de la liste conduite par Léon Deffontaines est à l’image de l’ambition du parti : faire gagner celles et ceux qui font tourner le pays. De Manon Ovion préparatrice de commande chez Vertbaudet dans le Nord à Sigrid Gerardin enseignante en bac professionnel et n°2 sur la liste, en passant par Fabien Gâche, électromécanicien chez Renault, c’est la liste du monde du travail.
Donner de la force à cette liste, c’est donner de la force à la gauche qui sera majoritaire demain. Il reste 10 jours pour convaincre. En avant !
