L’intelligence artificielle fascine autant qu’elle inquiète. Un peu comme internet il y a 25 ans, c’est une véritable révolution technologique. Faut-il la limiter, la freiner, craignant qu’elle ne détruise des emplois ou ne devienne incontrôlable ? Faut-il lui donner un cadrage éthique ? Des garde-fous ? La vraie question est ailleurs : à qui profite l’IA ? Sera-t-elle mise au service du capital ou du travail ?