Angers, Brest, Lille, Marseille, Nantes, Paris, Rennes, Tarbes, voici des villes parmi lesquelles les Jeunes communistes se sont manifestés contre les politiques de l’éducation. Ce 1ᵉʳ février, ils entendaient mettre la pression sur le gouvernement par leur mobilisation.
Faire entendre sa voix, de diverses manières
À Angers, les Jeunes Communistes étaient présents dès le début de la journée pour aider les lycéens à bloquer.
Au même moment, à Tarbes, les JC préparaient une magnifique banderole contre les “ministres incompétents”.
Dans le département du Nord, la ministre Oudéa-Castéra était aussi épinglée, par une militante prenant la parole devant son lycée, pour ses propos honteux et les polémiques de sa personne.
Partout où les Jeunes communistes étaient, ont eu lieu des prises de paroles, des distributions de tract pour faire connaître les revendications du mouvement et montrer que, si, mener une autre politique est possible. Non seulement possible, mais réaliste.
Comme toute journée de mobilisation, celle-ci fut un moment de renforcement pour le Mouvement. Le militantisme de terrain, le militantisme du quotidien, paye toujours lors de ces moments forts : à Marseille ce sont des adhésions qui sont enregistrées, ailleurs ce sont des contacts en vue d’une future activité qui ont été faits. Le mouvement social se renforce.
Partout, les jeunes se sont joints à leurs enseignants, dans de beaux cortèges, pour dénoncer Parcoursup ainsi que la réforme du lycée professionnel, en cours. À Brest, les enseignants ont donné de la voix aux côtés des Jeunes communistes tandis qu’à Rennes, on pouvait lire, sur des pancartes, ces mots que l’actualité a rappelé à toutes et tous : “le vrai séparatisme, c’est celui des bourgeois”.