Monsieur le Président de la République, le football est politique, les faits sont têtus.
En faisant référence au contexte politique de leur pays, les joueurs Iraniens ont refusé de chanter l’hymne national. En se désolidarisant d’un gouvernement qui méprise le droit des femmes et mène une répression féroce contre celles qui se mobilisent, les joueurs iraniens ont envoyé un message politique très fort. Quel courage !