Les chars et les soldats ont reçu l’ordre d’avancer, les bombardements sont lancés. À Gaza, et particulièrement à Rafah, c’est l’horreur, encore. Le million et demi de gazaouis bloqués dans la ville au sud de Gaza ont reçu l’ordre d’évacuer, bien que le déplacement forcé d’une population civile soit un crime de guerre. Même les États-Unis avaient haussé le ton, même la voix France s’était fait entendre, un peu. Visiblement pas assez. Une trentaine de personnes sont mortes, des enfants, encore.