La ficelle est si grosse qu’elle ressemble à une corde. Empêtré dans la crise de la réforme des retraites, le gouvernement allume un contre-feu en s’en prenant aux étrangers, aux personnes « qui peuvent toucher des aides, les envoyer au Maghreb, alors qu’ils n’y ont pas droit. »
Nous devons y opposer un accueil solidaire et digne, à l’image de la France que nous voulons.